Invité par un groupe des journalistes hier dimanche 8 avril, le conseillé du président de la République Albert Damantang Camara doit-être fière en cas d’une nouvelle constitution. L’ancien ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle dit n’a jamais discuté avec le président d’un éventuel mandat
Albert Damantang Camara rappelle que depuis 2011, le Pr Alpha Condé n’a pas eu un espaces de temps serein pour pouvoir parler d’une nouvelle constitution. ‹‹Je pense qu’on a rarement eu un moment et même maintenant, par ce qu’il y a le PNDES que nous executons. Vous n’allez pas terminer votre deuxième mandat sans pouvoir fonder un acte fondamentale dans la même lignée que tous les autres qui ont été posées pour faire notre démocratie la mise en place des institutions, les communales sans s’attaquer à l’élément fondamentale qui est notre société. Cette constitution avec des éléments dont tout le monde reconnaît doit être modifiée, ou revus parce qu’il y a des scories dans notre constitution. Ça, au moins c’est une chose sur laquelle tout le monde est d’accord. Maintenant le moment parce qu’on approche de la fin de nos compétences à proposer à ce genre de choses-là. Et peut-être c’est le dernier moment de le faire. Je suis d’accord donc qu’il y ait une nouvelle constitution ›› a indiqué Damantang Camara.
A la question de savoir s’il y a problèmes dans cette constitution de 7 mai 2010, le conseillé du président de la République déclare ceci: ‹ est-ce qu’il y a un problème dans un pays que des gens veuillent modifier ou proposer une nouvelle constitution? Il n’y en a pas. Les gens ont peur de çà, parce que dans la tête de tout le monde, ce que ça va permettre un autre mandat au président. Il faut se dire les vérités. Mais ce n’est pas parce que les gens ont peur qu’on va s’interdire nous, à donner des règles à ce pays qui permettent à correspondre à nos réalités ›› a-t-il souhaité.
Selon l’ancien ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, le moment n’était pas arriver pour l’avis pour changer. Pour nous, il est temps d’aller devant les citoyens et demandés leur point de vue: ‹‹Je ne dis pas ce n’était pas possible de faire avant, mais je dis que ce n’est pas impossible de le faire maintenant. Et en âme et conscience ç’aurait été très maladroit de parlé d’une nouvelle constitution au moment ou on avait tant d’échéance importante. Je vois très mal les gens à l’époque d’Ebola, à l’époque de l’installation des institutions parler d’une nouvelle constitution. Moi je n’ai jamais discuté avec le président d’un éventuel mandat supplémentaire ›› a-t-il conclut.
Amadou N’diré Diallo