On est toujours victime de soi, lorsqu’on s’est donné comme destin d’être un bourreau pour les autres.
Puisque cela est évident : ce ne sont sans doute pas la fausse indignation et les insinuations malsaines d’éternels grognons et ringards, des sociopathes en liberté d’une certaine institution dénommée consulat français en Guinée, qui vont arrêter l’élan des jeunes ambitieux de la République, saper la dynamique de grandeur et holistique d’un jeune Guinéen ou arrêter l’histoire en marche, autant dire l’avenir en construction.
Les étudiants des bonnes volontés, de la bonne foi et des consciences tranquilles semblent se retrouver encore, dans cette phase de cette procédure méphistophélique, celle de la demande du visa, en face d’un groupe de minus dit « autorités consulaires » qui ne sont que des pêcheurs en eaux troubles qui n’entendent prospérer que dans la zizanie, la mafia fragile et l’injustice facile engendrant une recrudescence massive de refus de visas.
Quand certains étudiants travaillent en se donnant à fond au meilleur pour tous, ses autorités consulaires multiplient les incantations pour foutre leur labeur à l’air. Parce qu’ils ne se retrouvent pas dans le cœur des ses étudiants auxquels ils refusent à longueur de journée des simples visas pour aller mener leurs études et croient pouvoir faire de la France un eldorado pour couvrir leurs crimes. Ils ne vivent pas seulement en marge de la société et de l’histoire, ils se bannissent de l’avenir tout en vivant l’enfer du présent. Ils se plaisent à traîner dans la boue des étudiants qui désirent simplement poursuivre leurs études en France comme si cela était un crime.
Mais attention, si ses pantouflards se plaisent dans leur cas de récidives c’est parce que leurs actes restent impunis, cette cohorte consulaire d’imbéciles, la bande à copains et coquins, également bande de crétins et de gredins, tous des sots devant l’éternel continuent à vociférer, pester et ameuter un groupe restreint d’étudiants lasse de leurs incartades et outrages. Quand le loup crie au loup.
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Des esprits brouillons comme tous les autres naufragés du Titanic consulaire qui feront eux aussi partir des troupes délitées, ont tenté un nouveau saut dans l’inconnu, cette fois, avec la manière habituelle : ” Du récidivisme ” , faite en actions capitales de la médiocrité ambiante dans ce milieu d’ânes savants, d’incultes bruyants.
Comme Don Quichotte, ils agissent contre des moulins à vents, contraires à la dignité et à l’honneur, des vents contraires aussi à celui de la bonne manière de l’administration consulaire avec ses principes et ses valeurs universels : quelle horreur !
” Des corps fantômes dans des esprits retors », voilà les gueux qui se prennent pour des seigneurs dans notre monde dont ils sont devenus braconniers, dans le fantasme lyrique qu’ils sont le bras-sans doute cassé, d’un monde estudiantin qu’ils peinent à martyriser et à soumettre à leurs désidératas débiles. À les observer et écouter, on comprend qu’il y a eu trop de déperditions consulaires les années passées.
Au grand dam de ces novices et néophytes, les étudiants, en hommes libres et fiers, ne reculant devant aucun défi, montrent déjà qu’ils ne céderont jamais au chantage, ni à l’intimidation d’une cohorte d’imbéciles en manque de morale et d’éducation administrative.
Ne posez surtout pas la question au corps expédionnaire de généraux sans galons, car ils marchent sur la tête, prennent des vessies pour des lanternes, ne croient qu’en ce et ceux qu’ils veulent croire ces néo-nihilistes et narcissiques, qui veulent changer l’ordre des valeurs dans leur pyramide inversée, ils croient qu’ils sont seuls au monde, dans leur monde de négation et de dénégations sans limites ni fin. Pauvre de ces pêcheurs à qui nous devons tous jeter la pierre comme les fidèles musulmans le font contre satan pendant le pélérinage à la mecque au cours du rituel de la lapidation. C’est une oeuvre sainte !
Les étudiants veulent infliger surtout une leçon d’humilité à tous ces pieds nickelés qui pensent toujours pouvoir arrêter le train de l’avenir des pauvres étudiants, et interdire les autres de partir chez eux intelligemment pendant qu’eux ils foulent facilement le sol guinéen comme ils veulent. Après tous ses nombreux refus de visas chaque année, et un désaveu plus cinglant encore à la face du monde, toute personne d’honneur et de conscience aurait largement changée, sur la pointe des pieds, du consulat où on ne laisse aucune chance aux étudiants, ses autorités chroniques, des pseudo-mécréants, qui plus sont, brillent par la tromperie, la duperie, la tricherie.
Dans ce combat qui oppose les habitudes chroniques du passé au défi de redresser les hommes et de changer la société, chacun est enclin à croire qu’il peut aller plus loin et plus vite que tout le monde. Ses autorités consulaires, non seulement insultent eux-mêmes leur propre conscience mais aussi retire à la France sa dignité et son honneur en lui donnant l’image d’un pays où il y’a encore des cancres dans l’espace public.
Il n’y a que l’homme qui a la Baraka, que la Providence a élevé qui n’est pas sourd et aveugle, le misérable se croit toujours meilleur et supérieur avant de sombrer.
Je n’en ai pas fini avec vous. C’est promis.
Continuez à croire que vous êtes le seul pays meilleur au monde que les étudiants attendent.
A la prochaine !
Aboubakr Guilavogui.