Longtemps dans son silence, Abdourahmane Sanoh s’est enfin tiré des bois pour évoquer le sujet du mandat d’arrêt international émis contre Sekou Koundouno.
Pour lui, ce mandat émis, n’est rien qu’une de la diversion.
Lisons le :
« C’est pire qu’une diversion, c’est plutôt l’expression d’un agacement et d’une fébrilité au niveau du système. Ils ont voulu imposer par la force le troisième mandat au peuple d’abord, ça ne peut pas tenir, mais, en même temps, on ne peut effrayer personne avec ces actes qui consistent juste à distraire.». A-t-il affirmé aux micros de nos confrères de la rfi.fr.
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Hassane Diallo