Le Conseil de sécurité des Nations Unies (ONU) s’est penché ce mardi 11 sur la situation du Mali avec à l’ordre du jour, les sanctions de la CEDEAO et de l’UEMOA. Mais la dessus, aucune entente les grandes puissance surtout.
Pour lui, l’ONU continuera à être aux côtés des autorités maliennes, de la Cédéao et de l’UA pour ne pas échouer cette transition. Après tout dira-t-il, « le soutien à la transition est bien inscrit au mandat de la Minusma »
Après l’exposé d’Adam Dicko, la jeune militante de la société civile malienne Adam Dicko, La France, la Grande-Bretagne et les États-Unis ont quand à eux rejetés catégoriquement une transition de 5 ans au Mali et ont donc d’office soutenu les sanctions annoncées par la Cédéao et l’Uemoa.
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Contrairement à ces puissances, la Russie et la Chine ont plaidé pour la non-ingérence au Mali.
S’agissant des sanctions de la CEDEAO, le représentant russe Vassily Nebenzia a dira qu’il « serait irresponsable dans les circonstances actuelles de laisser ce pays s’en remettre à son destin, notamment pour ce qui est de réduire l’aide militaire et socio-économique à ce pays. L’imposition de sanctions contre ce pays qui rencontre déjà bien des difficultés pourrait encore faire dégénérer la situation pour la population civile ».
Nous y reviendrons…