Réunis à Accra hier vendredi en sommet extraordinaire en huis clos, la chefs d’États de la CEDEAO ont maintenus les sanctions contre la junte au Mali en acceptant le prolongement de la transition de 12 à 16 mois en dépit de 18 mois affectés.
En ce qui concerne le Burkina Faso et la Guinée, des ultimatums ont été donnés aux militaires putschistes de ces deux pays.
S’agissant de la Guinée en particulier, la CEDEAO a exigée un délai d’un mois, à savoir jusqu’au 25 avril prochain au CNRD, pour qu’elle présente un calendrier « acceptable» pour la transition.
Reste à savoir, si cet utilmatum sera respecté par les autorités de la transition Guinéenne.
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Si ce délai d’un mois n’est pas respecté, La Cédéao prévient que le pays fera face à des sanctions.
Nous y reviendrons !