‹‹ Nous constatons qu’à chaque fois qu’il y a des perspectives de rencontres au niveau de la CEDEAO, par rapport aux dossiers des pays qui sont en crise notamment là où il y a eu des coups d’État, au niveau de la Guinée souvent on se précipite pour prendre des décisions. Ce qu’on a réclamé depuis longtemps, on ne le met pas en place. À la veille de chaque sommet, on essaie un peu d’amuser la galerie, d’essayer de mettre en place des instruments réclamés pour lesquels, il n’y avait pas la volonté politique. Pour moi, ce qui a précipité la mise en place de ce cadre de dialogue, c’est la tenue de cette session en marge de l’assemblée générale des Nations Unies à New-York, la session annoncée de la CEDEAO ››, déclare Cellou Baldé.
Dans la même logique, Cellou Baldé qui même si un petit doute s’impose chez lui, salue cette mise en place de cet autre cadre de dialogue du pays.
‹‹ Nous saluons la mise en place d’un cadre de dialogue pas de concertation à travers un décret du Président de la République. Un cadre qui est placé sous l’autorité du Premier ministre, chef du gouvernement. Ceci est quelque chose d’important que nous avions réclamé. Mais aujourd’hui, ce qu’il faut dire on est en train de reculer. Souvenez-vous qu’il y a une médiation internationale qui a été mise en place. Un premier médiateur a été récusé et a été remplacé par Boni Yayi, qui a fait un premier travail ››, a-t-il dit.
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