Marche des journalistes : Il ne faut pas dire qu’on a été agressé ou violenté, c’est faux (Ousmane Gaoual)
« Si on fait des interventions de police, elles entraînent quelques bobos, parce que les gens courent. Il ne faut pas dire qu’on a été agressé ou violenté, c’est faux. Ce traitement de l’information était biaisé. Personne de vous ne peut diffuser une image où vous voyez un de vos confrères brutalisé par la police. Si vous sortez ça, les sujets peuvent être poursuivis, qu’ils soient policiers ou gendarmes. Si vous avez des vidéos ou des images de témoignages que la police ou la gendarmerie brutalise un citoyen, il va être poursuivi, c’est clair. Mais le fait de dire qu’ils ont brutalisé les gens, il faut quand même respecter tout le monde. On respecte les médias, mais les médias doivent avoir un traitement raisonnable de l’information »
Ces propos viennent du minisitre porte parole de la Transition Guinéenne, Ousmane Gaoual Diallo.
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