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Enjeu de la transition en République de Guinée, la plateforme DPEG à l’heure de la reflexion

La plate-forme Démocratie, paix, Élections et Développement durable en Guinée (PLATE-FORME DPEG)à organiser un atelier de réflexion sur L’analyse Sociopolitique et Économique de la Transition qui a pour thème :<<pour une transition réussie, quel rôle doit jouer chaque acteurs impliquer ?>> qui s’est tenu au siège de la plateforme DPEG à yattaya sos dans la commune de Lambangny. 

Pr Salifou Sylla ancien ministre de la justice et paneliste :
<< je ne sais pas par quel moyen on va les contraindre, parceque souvent ce qui pousse les autorités à s’incliner c’est les manifestations et quand il y a des manifestations ont tire sur les gens,vous ne passerez pas par la justice pour les contraindre vous avez très bien ce que c’est la justice malheureusement, il est évident que les jeunes se battent ils sont déterminer chaque fois ont n’en tue mais ils ressortent quand je vois ces jeunes la manière dont qu’ils se sacrifient et il ya aucune conséquence parceque c’est pas suivi par les adultes qui se rétracte. >>
Abdoul Sacko paneliste et activiste de la société civile :
<< D’abord il reconnaître que l’une des erreurs que nous commentons en Guinée, il faut le reconnaître et il faut l’assumer par rapport au coup d’état du CNRD les acteurs sociopolitique guinéens nous avons été guider par l’émotion tant qu’on ne le fait pas ont va continuer à aller dans les erreurs, la déception du non démocratique qu’on attendait du pr Alpha Condé y égard à son combat la volonté de se débarrasser du pr Alpha Condé a fait que la première offre qui était mis devant ont l’a saisie avec passion et émotion et nous n’avons même pas calculer ce que nous soutenons qui ils étaient au temps du pr Alpha Condé. Tout ceux qui étaient leaders d’opinion ont devraient prendre acte et dire comme c’est pour la liberté comment Allons-nous gérer qu’elles sont les organes qui doivent être mis en place, ça n’est pas seulement la société civile C’est tout les leaders d’opinion pour la société civile ça me gêne, mais le peuple sait que ce qui soufflait dans les oreilles de l’ancien président, ce sont eux-même qui sont avec le CNRD. >>
Doyen Boubacar biro Barry syndicaliste, activiste de la société civile et paneliste :
<< Quand un putschiste qui s’engage à retourner le pouvoir au civile, à respecter le temps même si sous le contrôle du professeur y a pas eu de temps pour notre transition, je pense souhaite qu’on le fasse de la façon suivante, on recense, on reformule il ya des documents,vous avez suivi la sortie de Ousmane Gaoual un ministre de la République qui dit << le président a dit qu’il ne dépassera pas même une heure la fin de la transition >> on relaie,  ses engagements on les diffuse je n’ai pas dis d’accompagner je dis de les amener à respecter ces engagements et si nous participons à ça nous aurons été de bons citoyens parceque aujourd’hui c’est le dénominateur commun, quand vous prenez des manifestations chaque fois un bilan humain c’est triste, vous avez vus l’exposition qu’ils sont entrain de faire au palais c’est parce que j’ai peur depuis 2006 je suis dans les combats sociaux mais on n’a des mineurs qui sont toujours victimes, prenons le problème reformulons le et amenons les à respecter les engagements c’est l’épine dorsale de cette transition. 
Un premier ministre dans une transition n’a jamais la main libre, il se donne la main libre  il l’impose cela s’acquiert donc c’est en vertu de ça qu’on peut utiliser nous organiser pour les contraindre à respecter, et si ils respectent ça nous fait vraiment un acquis. >>

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