Un concessionnaire tué par son locataire à kissosso, les explications de sa femme sur la mort de son mari
À Kissosso dans la commune de tombolia, un concessionnaire tué par son locataire Aboubacar Kante commissaire de son état en service au commissariat de tombolia le meurtre est survenu ce lundi 14 mai à son domicile familial, un journaliste du site oceanguinee.com a rencontrer la veuve du défunt à travers une interview qu’elle a accordé pour expliquer sa version sur la mort de son mari.
Mariam Cisse Diallo raconte les circonstances de la mort douloureuse de son époux
<< C’est effectivement hier entre 21h- 22h que cette discussion a éclatée entre mon mari et notre locataire du nom de Aboubacar Kante commissaire de son état qui est d’ailleurs en service au commissariat de tombolia, pour revenir sur les faits , le monsieur sort trouvé mon mari arrêter à la devanture de la maison, il demande à mon mari pourquoi il insulte sa mère après mon mari lui répond quand est ce j’ai insulté ta mère, mais pour mon mari c’était juste une blague après l’autre dit qu’il faut que mon mari insulte sa propre mère si non il va pas bouger après il insiste toujours à ce que l’autre lui céde le passage puisqu’il n’a pas pris au sérieux et d’ailleurs il partait se doucher.
Entre-temps le commissaire sort la torche neutraliseur pour lui pointer, après mon mari ressent des douleurs au niveau de ses côtes et poitrine il tombe automatiquement, mais voulant se relever le commissaire le pourchasse ils sortent carrément de la cour, mon mari tombe au pied de la petite colline que vous voyez derrière la cour le monsieur vient encore s’asseoir sur lui, en lui rouillant des coups, comme j’avais vu que c’était devenu sérieux j’ai crier au secours après les gens sont venus m’aider, mais l’état de santé de mon mari n’était pas du tout rassurant, on avait juger nécessaire de l’envoyer à l’hôpital une fois dans une clinique à Sangoyah ceux-là nous ont dit de continuer à Donka puisque son état ne faisait qu’empirer, nous avons pris la direction de Donka, mais tout le parcours ont était avec une sœur du monsieur avec sa tante une fois au CHU de Donka sa tante nous dit qu’elle a une connaissance médecin qui est en service dans l’enceinte de l’hôpital, nous avons pris assez de temps à attendre cette personne qui n’est malheureusement pas revenue, pendant ce temps mon époux était couché au sol entrain de se tordre de douleur, c’est en ce moment que j’ai pris l’initiative avec mon fils de voir les médecins qui sont là-bas, une fois dedans un médecin a eu le courage de nous dire la vérité que c’était déjà peine perdu pour mon mari puisque d’après lui que le sang était amassé dans son ventre et son cœur bat à un rythme qui ne va pas lui donner la chance de se relever, quelques minutes après, il nous annonce la mauvaise nouvelle>>
<< Pour le moment le cors se trouve à Donka,et celui qui a commis cet acte continue vaque à ses affaires comme si de rien n’était, mais les premiers soins qu’on a reçu Sangoyah c’est lui qui a pris en charge, parceque sa sœur avait insisté pour qu’il emmene mon mari à l’hôpital comme c’est lui la source du problème.
Pratiquement après là-bas il a prit sa femme et sont partis.
Aucune autorité n’a mis pied ici depuis que l’acte a été commis sauf que les agents qui sont venus pour s’opposer à ce que les jeunes caillasse la concession.
Nous réclamons la justice pour mon mari>>A-t-elle conclu
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