À l’approche de l’ouverture des classes, les commerçants se plaignent sur la rareté de la clientèle
Par Morlaye Damba
L’ouverture de la rentrée des classes est prévue pour quelques jours d’après les autorités du système éducatif et l’achat des articles dédiés à la fourniture scolaire tarde à être écouler par les commerçants dont la cause principale serait la rareté de la clientèle et certains parents d’élèves peines offrir du meilleur à leurs enfants pour obtenir une rentrée scolaire en beauté et les vendeurs ambulants de ces articles passent le temoin à la conjoncture en un mot la situation économique du pays.un reporter du site oceanguinee.com s’est rendu dans un marché de la place pour s’enquérir des réalités du marché à travers une interview que deux vendeurs nous a accordé.
Kadialiou Barry est un vendeur d’articles scolaire
<< Nous avons des difficultés à écouler nos marchandises puisque les gens aussi se plaignent de la cherté des articles même si par contre à notre tour nous avons des charges et c’est dans ça qu’on tire bénéfice pour pouvoir faire face à toutes ces charges. Mais nous parvenons à écouler tant bien que mal.
Au niveau des prix comparativement à l’année dernière les cahiers n’ont pas changé c’est toujours à 20000fg le paquet. Mais les sacs comme il n’y a pas un prix donc c’est en fonction des moyens du client et le bénéfice qu’on a eu dedans, ça varie entre 50 000 à 180.000.
Certes, vous savez cette année il y’a eu un décalage donc les préparatifs manquent voilà pourquoi l’engouement n’est pas de taille dans le marché. >>dit-il
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<< C’est pratiquement la même situation que l’année dernière en tout cas les prix n’ont pas changé mais la seule difficulté que nous rencontrons est que les clients viennent en dent de scie et ceux qui viennent se plaignent de la conjoncture.
Vous savez que cela ne dépend pas de nous aussi mais le prix en gros, puisque nous vendons à notre tour aussi pour se faire des bénéfices.
Un paquet de cahier est à 20 000 pour la tenue le mettre à 15000 pour le carreau et 20000 le kakis. Bon les sacs nous n’avons un prix fixe ça dépend de la qualité et la taille du sac. Chez moi le plus petit prix de sac est à 100.000. >> a-t-elle laissé entendre.