Cher Camarade, ami et frère du pays;
Désormais chaque 13 octobre marquera pour nous l’instant de cloche pour la rentrer d’une nouvelle année depuis ton rappel éternel à Dieu. Encore aujourd’hui cher frère et ami, nombreux sont ceux- là qui ont pris de leur temps, un instant pour prier pour le repos de ton âme, cela j’en suis certains.
Je sais que ton vécu sur terre a laissé des traces, des traces qui ont marqués plusieurs vies, des vies pour lesquelles tu t’es vaillamment et fièrement investit.
Si pour d’autres tu étais le chef du village de PRAC, ou le président des 518, pour moi, tu étais juste un des meilleurs parmi les meilleurs que j’ai connu et côtoyé. Fin intelligent, attentif, discret et objectif. Tu étais en quelque sorte un symbole de bonté et d’objectivité, car à chaque fois que tu avais dis oui, tu as assumé, et fièrement aussi tu as servi les causes pour lesquelles et sur lesquelles tu as prêté confiance. Tu étais le symbole de cette sincérité et de cohérence avec tes pensées.
Me faudrait-il vraiment parlé de toi ? Même si je le voudrais, je préfèrerais plutôt prier pour toi pour ton âme, prier pour ta progéniture que tu as laissé parmi nous, tes œuvres sociales et politiques que les bonnes personnes qui t’ont connues et côtoyées ne vont jamais oublier.
Alors cher frère et ami, Puisse Dieu dans sa miséricorde, t’accorder son pardon céleste et t’accueillir dans son paradis;
Puisse Dieu dans sa grandeur et sa miséricorde protégé et bénir davantage ta progéniture ;
Puisse Dieu dans sa bonté, agir dans les cœurs surtout de ceux-là qui t’ont connus et côtoyé afin que des leurs bouches et de leurs cœurs, des prières pour toi ne tarissent jamais.
Puisse le seigneur t’accorder son pardon céleste et remplir ton demeure de sa miséricorde.
Amen cher Youssouf.
Dors en paix cher ami.
Ton cher Hamidou, le Bayabhiste (Frère Bah)
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