Touché par la sortie du SPPG dirigé Sékou Jamal Pendessa, suite à la restricition des sites d’informations générales (inquisiteur.net et guieematin.com), et les critiques de certains journalistes, le ministre porte parole du Gouvernement a demandé des preuves des accusations portées contre sa personne.
Pour le ministre, il y’a juste des journalistes qu’ils sont hors-la loi, et cela est du faitt que lorsqu’un journaliste est traduit en justice, c’est un autre acharnement qui sera contre lui.
” C’est normal qu’il y ait des journalistes qui croient qu’ils sont hors-la-loi. Parce que le jour où on amène les journalistes à la justice, c’est vous les premiers qui allez vous lever pour dire non, le ministre ne supporte pas la critique… Non, ce n’est pas la critique ! “
Plus loin, Ousmane Gaoual dira que cette accusation contre sa persone est un acharnement qui pourrait se terminer au tribunal.
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” En amenant ce sujet devant le tribunal on n’a aucun intérêt. Mais lorsque les accusations sont systématiques, et il y a un acharnement, on est obligés nous-mêmes, pour nous protéger, de traîner le débat à la tribune, parce que c’est tout ce qu’on peut. Mais ce n’est pas suffisant.“
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