AFRIKENTREPRENEURS.COM
La Vraie Information, c'est ICI

Qualifié de prédateur de la liberté de la presse, Ousmane Gaoual n’exclut pas de saisir la justice

Touché par la sortie du SPPG dirigé Sékou Jamal Pendessa, suite à la restricition des sites d’informations générales (inquisiteur.net et guieematin.com), et les critiques de certains journalistes, le ministre porte parole du Gouvernement a demandé des preuves des accusations portées contre sa personne.
Pour le ministre, il y’a juste des journalistes qu’ils sont hors-la loi, et cela est du faitt que lorsqu’un journaliste est traduit en justice, c’est un autre acharnement qui sera contre lui.
C’est normal qu’il y ait des journalistes qui croient qu’ils sont hors-la-loi. Parce que le jour où on amène les journalistes à la justice, c’est vous les premiers qui allez vous lever  pour dire non, le ministre ne supporte pas la critique… Non, ce n’est pas la critique !
Plus loin, Ousmane Gaoual dira que cette accusation contre sa persone est un acharnement qui pourrait se terminer au tribunal.
En amenant ce sujet devant le tribunal on n’a aucun intérêt. Mais lorsque les accusations sont systématiques, et il y a un acharnement, on est obligés nous-mêmes, pour nous protéger, de traîner le débat à la tribune, parce que c’est tout ce qu’on peut. Mais ce n’est pas suffisant.

Les commentaires sont fermés.

error: Contenu protégé!!