Dans une interview qu’il a accordée ce lundi 21 janvier 2019 à une radio de la place, le secrétaire général adjoint, Oumar Tounkara du syndicat libre des enseignants chercheurs de Guinée(SLECG) est revenu sur l’enjeu de la mise en œuvre du Protocole d’attendre entre son organisation et le gouvernement.
Le numéro deux du syndicat libre des enseignants chercheurs de Guinée(SLECG) dit qu’il n’acceptera pas que le syndicat National de l’éducation et la fédération syndicale professionnel de l’Education participent au recensement des enseignants et l’assainissement du fichier des fonctionnaires : « Au niveau du personnel enseignant, les commissions doivent être constituées aujourd’hui 21 janvier 2019. Nous refusons de façon catégorique. Quand je dis nous, c’est le bureau exécutif du syndicat libre des enseignants chercheurs de Guinée(SLECG) que le recensement se passe avec le syndicat National de l’éducation et la fédération syndicale professionnel de l’Education. Par ce que les deux syndicats n’ont pas signer l’avis de grève. Et ils disent qu’ils ont peur d’être marginalisé. Le recensement que nous faisons, c’est un recensement exclusif et qui n’exclut aucun enseignant en situation de classe ».
Du Berger à la bergère, la réaction du président du syndicat national de l’éducation n’a pas tardé : « le syndicat libre des enseignants chercheurs de Guinée(SLECG) ont une haine contre nous, mais si nous ne participeront pas à l’assainissement du fichier des enseignant, nous allons boycotter et la crise va reprendre ».
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Thierno Amadou Oury BALDE