Quelques jours avant la date de manifestation annoncée par l’UFDG et ses alliés de l’ANAD, le gouvernement Guinéen a suspendue toutes les manifestations de masses, ce, disent-ils pour raison sanitaire.
Le principal parti de l’opposant, qui est l’UFDG en droite lignes avec ses alliés disent ne pas se soumettre à une contrainte rigide qui viole les lois de la république en rejetant cette décision.
Ci-dessous la déclaration de l’UFDG et de l’ANAD lu par par Joachim Baba Millimono, vice coordinateur de la cellule de communication de l’UFDG.
« Nous condamnons fermement l’INSTRUMENTALISATION et la POLITISATION Du covid-19 pour PROTÉGER LE HOLD Up ÉLECTORAL, LES KIPNAPING ET LES ARRESTATIONS ARBITRAIRES DEPUIS LE 22 MARS 2020 et remettons cette décision d’interdiction des manifestations qui n’est qu’une violation manifeste d’une liberté publique fondamentale. On ne saurait accepter le corsetage de la liberté de manifester qui est un droit acquis consacré aussi bien par la constitution du 10 mai 2010 que par le torchon du 22 mars. Il n’est de secret pour personne qu’Alpha Condé, son RPG arc-en-ciel et le gouvernement n’ont jamais eu l’obligeance de respecter les mesures barrières. A travers cette ce communiqué du gouvernement, c’est l’hôpital qui se moque de la charité, une comédie qui ne nous ébranle guère à l’ANAD.»
- Advertisement -
Hassane Diallo