Pour protégé son patron, le premier ministre face à nos confrères de Djoma n’a pas manqué de lancer des piques à l’endroit du FNDC qu’il accuse d’être à la base des troubles dans le pays.
« Dès que le CNRD est venu au pouvoir tout de suite, il y a eu la libération des prisonniers politiques et la rentrée rapide des exilés politiques. Mais aujourd’hui, pour nous, il n’y pas de prisonniers politiques en Guinée. Un groupement de fait non reconnu, un groupement dissout qui appelle à la violence, qui a fait sortir des loubards dans la rue pour caillasser des véhicules, pour s’attaquer à la vie des personnes, pour détruire des biens physiques, lorsqu’ils sont interpellés, pour moi, il faut laisser la justice faire son travail », a-t-il martelé.
Affaire à suivre !