𝗗𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝗹’𝗮𝗻𝗻𝗼𝗻𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝗰𝗮𝗿𝗰𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗮𝗺𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲 𝗱𝗶𝘁 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝗲̀𝗿𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗲𝗻𝗳𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗼𝗻𝘁 𝗹𝗲 𝗽𝗲̀𝗿𝗲 𝘀𝗲𝗿𝗮𝗶𝘁 𝗹’𝗮𝗻𝗰𝗶𝗲𝗻 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗮𝗯𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗳𝘂𝘁𝘂𝗿 𝗺𝗶𝗻𝗶𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗝𝘂𝘀𝘁𝗶𝗰𝗲, 𝗶𝗹 𝗲𝘀𝘁 𝗲́𝘁𝗼𝗻𝗻𝗮𝗻𝘁 𝗾𝘂’𝗮𝘂𝗰𝘂𝗻𝗲 𝗮𝘀𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗱𝗲́𝗳𝗲𝗻𝘀𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗿𝗼𝗶𝘁𝘀 𝗱𝗲𝘀 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲𝘀 𝗻’𝗮𝗶𝘁 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲́ 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁, 𝗻𝗲 𝘀𝗲𝗿𝗮𝗶𝘁-𝗰𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗺𝗼𝗿𝗮𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗲𝗻 𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗳𝗿𝗮𝗴𝗶𝗹𝗲.
Quant à Alphonse Charles Wright, il s’est lancé dans sa logorrhée habituelle au lieu d’éclairer l’opinion publique, menaçant un journaliste et un magistrat qui seraient,selon lui, dans une sorte de collusion pour le nuire. Mais il ne dit absolument rien quant à la paternité de cet enfant. Si cette affaire restait dans la sphère du privée, elle n’aurait probablement intéressé personne. Mais ce qui choque, c’est d’une part, l’utilisation de la puissance publique pour régler une affaire strictement privée et, d’autre part, la stratégie qui consiste à menacer et intimider.
En réalité, Alphonse Charles Wright n’est pas intelligent contrairement à ce qu’il croit. Sinon, il aurait observé la discrétion la plus complète autour de cette affaire. Au fond, il est connu que Alphonse Charles Wright à un penchant pour les femmes malgré l’image qu’il veut donner de lui. Ce qui relève encore de sa vie privée. Mais il ne doit pas se servir de sa position pour tenter de faire taire une jeune femme qui ne sait pas levée un beau matin pour inventer une histoire d’un enfant né hors mariage. Il n’y a pas de fumée sans feu.
Encore une fois, il serait intéressant que les associations de défense des droits des femmes se fassent entendre à moins qu’elles ne soient elles-mêmes intimidées par l’ex « tout-puissant » ministre de la Justice.
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𝗦𝗘𝗞𝗢𝗨 𝗞𝗢𝗨𝗡𝗗𝗢𝗨𝗡𝗢
𝗥𝗘𝗦𝗣𝗢𝗡𝗦𝗔𝗕𝗟𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗦𝗧𝗥𝗔𝗧𝗘́𝗚𝗜𝗘𝗦 𝗘𝗧 𝗣𝗟𝗔𝗡𝗜𝗙𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗗𝗨 𝗙𝗡𝗗𝗖