Dispersée par les forces de l’ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogène. La vice présidente du comité national des femmes de l’union des forces démocratiques de guinée, (UFDG ) se titille, fustige l’attitude des forces de l’ordre tout en annonçant la poursuite des protestations de rue pour exiger une lumière sur ses le des morts lors des manifestations politiques.
« Hier, on nous a gazées, on nous a molestées. Nous avons eu des blessées dans nos rangs, mais nous ne comptons pas nous arrêter là. Si nous restons les bras croisés, ce pays n’avancera pas. C’est pourquoi, nous devons continuer le combat », à indiqué madame maïmouna bah.
« Nous n’avons pas peur, on s’attend toujours au pire avec les forces de l’ordre de sécurité. Mais, nous n’avons pas d’autres solutions que de marcher. Nous ne sommes pas des enfants, normalement, notre place c’est à la maison. Si nous sortons dans la rue, c’est parce-que nous n’avons pas d’autres choix » . Ajoute la parlementaire. Qui indique qu’un nouveau programme des protestations sera dévoilé dans les prochains jours.
Abd Akila pour oceanguinee.com