Au siège de son parti, où ils se sont migrer, après avoir été déguerpis de l’esplanade du stade du 28 septembre, devant la porte de l’université Gamal Abdel Nasser, Faya milimono et ses partisans ont utilisés le mot démilitarisée nos routes, nos enfants à l’école, comme slogans.
Pour Faya Millimono, leur cri de cœur, a été entendu.
« Nous avons le sentiment que notre message a été entendu. D’abord par les Guinéens, et c’est ce qui est important. Que les Guinéens comprennent, que nous sommes sur une pente raide, nous sommes dans une dictature. Les gouvernants, peuvent ne pas avoir la sensibilité de reconnaître l’appel, le cri de cœur que nous avons fait. Mais, ils ont été gênés. Parce que s’ils n’étaient pas gênés, ils ne nous auraient pas déranger de Dixinn », a dit le président du BL.
Le Bloc Libéral n’entend pas s’arrêter à cette forme de dénonciation. Son président promet que d’autres actions devraient être entreprises.
« La semaine prochaine, nous allons nous retrouver pour tirer les leçons de ce que nous avons vécu pendant ces quatre derniers jours. Et lorsque nous allons tirer les leçons, nous annoncerons d’autres actions que nous allons entreprendre », a assuré Dr Faya Millimono, qui souligne, par ailleurs, que des compatriotes de Colombos, dans l’Etat d’Ohio aux États-Unis, ont procédé à une journée de grève de la faim, ce samedi.
« La semaine prochaine, nous allons nous retrouver pour tirer les leçons de ce que nous avons vécu pendant ces quatre derniers jours. Et lorsque nous allons tirer les leçons, nous annoncerons d’autres actions que nous allons entreprendre », a assuré Dr Faya Millimono, qui souligne, par ailleurs, que des compatriotes de Colombos, dans l’Etat d’Ohio aux États-Unis, ont procédé à une journée de grève de la faim, ce samedi.
« Les Guinéens doivent comprendre que nous avons un défi à relever. C’est celui de se débarrasser d’un autre dictateur », a martelé le président du (BL).
Abd Akila pour oceanguinee.com