C’est un Kountigui de la basse Côte engagé et déterminé qui a dit de quoi il pense a propos de Malick Sankon ce jeudi 4 juillet 2019. Sékhouna Soumah lors d’une reunion, n’a pas tardé à pointé un doigt accusateur sur le gérant de la Caisse nationale de sécurité sociale, tout en lui mettant dans le groupe des gens qui veulent compromettre la paix et la quiétude dans la région.
Au cours de cette réunion, le Kountigui de la basse côte qui, actuellement est en froid avec le gouvernement après sa sortie médiatique concernant sur un refus total qui vise la modification de la constitution, a indiqué que des gens de mauvais, dont Malick Sankon en est un cherchent à saborder la cohésion sociale qui existe en Basse Côte niant son autorité de Kountigui ( le chef coutumier ).
Très en colère contre ses personnes, El hadj Sékhouna a pesté toute sa colère envoyant un message fort à l’endroit du président Alpha Condé. << Je dirais au Président, qu’il s’est fait entourer de gens qui sont des sheitanes, démons, comme Malick Sankon qui cherchent à activer des crises en Guinée. Ils pensent que je suis un opposant, Avec mon titre de kountigui, je suis une autorité morale de la Basse-Guinée et non des moindres. Il y a des fils de la Basse Guinée qui sont autour du président Alpha Condé qui vont jusqu’à dire au chef de l’Etat de mettre de l’argent à leur disposition pour installer un nouveau Kountigui à ma place. Mais ils ont été répondus par ce dernier qui dit ne reconnaitre qu’un seul kountigui en Basse Guinée qui est Elhadj Sékhouna Soumah. Entre lui et moi, il n’y a aucun problème. Des personnes de mauvaise foi qui pullulent à ses côtés cherchent à créer la division, dites-leur de me laisser tranquille. Je suis un Kountigui choisi et installé par la Basse-Guinée. Donc dites à Malick Sankhon d’arrêter ses combines >>, a averti Elhadj Sékhouna Soumah.
Par ailleurs, comme les politiciens veulent le corrompre a tout prix, El hadj Sékhouna leur demande d’arrêter. Parlant aux fils de la Basse Côte, il indique << qu’il faut qu’on apprenne à travailler et à compter sur nos propres efforts. A mon actif j’ai plus de 100 hectares de terres cultivées, si les gens pensent me corrompre avec leur argent ou leurs biens matériels, ils n’ont qu’à arrêter comme ça, puisque j’ai de quoi vivre >>, a lancé l’autorité morale de la Basse côte depuis Dubreka.
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Abd Akila pourocéanguinee.com