Les bombardements israéliens sur la bande de Gaza lors de la dernière Intifada risque de causer d’éventuelles poursuites pour crimes de guerres contre l’Etat hébreux.
En effet, selon l’ONU, il n’y aucune preuve de présence de groupes armés ou d’action militaire dans les bâtiments visés par Israël à Gaza, dans lesquels plus de 250 personnes ont été tués.
« Nous n’avons pas vu de preuve », a déclaré ce jeudi, la Haute commissaire aux droits de l’homme Michelle Bachelet, lors d’une session spéciale de l’instance onusienne.
D’ailleurs, un projet de résolution qui doit être examiné dans l’après-midi prévoit une Commission d’enquête internationale sur les violations des droits humains et du DIH.
Ainsi, cette commission d’enquête sera chargée d’identifier les responsables et de recueillir et préserver des preuves. Non seulement sur les tensions dès mi-avril, mais sur la situation qui a abouti à cette détérioration, informe 7sur7.be.
Aissata Keita