Dans le pire et le mal, le journaliste continu de ce battre pour servir les citoyens. Mais hélas, quand les forces de l’ordre sont allergiques envers ce journaliste, il devient de l’inhumanisme militaire. L’exemple est que notre confrère, par ailleurs correspondant du site guinéenews.org, Mamadou Gueye à été violemment pris à partie de la soirée du mardi 14 mai 2019 par des gendarmes venus pour le maintien d’ordre lors de la manifestation des femmes de Fria.
Sur choc, il raconte cette histoire dont-il à été victime du barbareri de la part de ses agents venus pour mettre de l’ordre dans la cité.
« J’étais venu au centre-ville couvrir l’événement pour Guineenews. J’étais pile en face de l’hôpital préfectoral et soudainement, des gendarmes venus de Conakry pour renforcer le contingent militaire de Boké, sont arrivés pour disperser un attroupement de jeunes à coup de bombes lacrymogènes et de pierres. Puis, ils s’en sont pris à l’hôpital en usant des mêmes gaz lacrymogènes et des cailloux. Et, moi qui faisais le direct sur la page Facebook du site, c’est là que je me suis vu malgré que je me sois présenté à eux, rouer de coups. J’ai été blessé au bras et j’ai aussi perdu mon téléphone et mon dictaphone », a expliqué notre confrère avec une voix pénible.
Après cette agression crapuleuse des agents, notre confrère déclaré avoir perdu ses outils de travail notamment un téléphone et un dictaphone.
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Il n’est nullement un cas isolé puisque de nombreux cas de bavures ont été aussi malencontreusement constatés sur certains citoyens de cette localité.
Abd Akila pour océanguinee.com