Il est 14 heures passé de quelques minutes à Conakry, dans la capitale d. Alors qu’une manifestation est appelée ce Mercredi 25 novembre 2020 sur l’autoroute, mais aussi sur toute l’étendue du territoire national, nous constatons un manque d’affluence dans certains endroits de la Capitale.
A part des journalistes à la place des opposants pour la quête d’informations, une fluidité de circulation était aussi visible sur place. Des boutiques et magasins sont ouverts, les forces de l’ordre sont postées à l’aéroport mais aussi sur la route, le prince.
A part des journalistes à la place des opposants pour la quête d’informations, une fluidité de circulation était aussi visible sur place. Des boutiques et magasins sont ouverts, les forces de l’ordre sont postées à l’aéroport mais aussi sur la route, le prince.
Dans la matinée jusqu’à cette heure précise, la sécurité est toujours renforcée à l’aéroport de Conakry sous l’œil vigilant de plusieurs pickups de la police et de la gendarmerie.
Au rond-point de l’aéroport d’où elle a été prévue, aucun manifestant n’était visible sur les lieux, seuls les journalistes étaient présents sur place, a constaté un reporter d’Oceanguinee.com. Un mamba de la police, une citerne à eau chaude, des pickups de la police et de la gendarmerie sont stationnés et plusieurs agents positionnés.
Malgré la présence de toutes ces forces sur l’axe, des jeunes ont quand même eu le courage d’affronter les tirs de gaz lacrymogènes pour répondre à l’appel à manifester de l’opposition. La situation est bel et bien stable, des gens sans peur passent et certains usagers font aussi leur démarche. Ce qu’il faut retenir sur cet axe, nous assistons à une scène de non considération pour ceux qui y vivent. Certains citoyens étaient dans cette difficulté. Par discutions avec des journalistes, un jeune qui s’était rendu au marché pour acheter les cuisses de poulets pour sa famille, a été arrêté par des agents. Mais, avec l’intervention des journalistes, le jeune a vite été libéré. Cette action s’est passée dans la zone Bambeto, précisément au, Magasin.
Avec cet appel de l’opposition, certaines activités commerciales, qui sur tout au long de l’axe, sont paralysées.
Au marché de Matoto, les activités tournent au ralenti. De nombreux boutiques et magasins sont fermés. Les étalagistes sont par contre sur place. Même constat à Cosa et à Bambeto.
Malgré la présence de toutes ces forces sur l’axe, des jeunes ont quand même eu le courage d’affronter les tirs de gaz lacrymogènes pour répondre à l’appel à manifester de l’opposition. La situation est bel et bien stable, des gens sans peur passent et certains usagers font aussi leur démarche. Ce qu’il faut retenir sur cet axe, nous assistons à une scène de non considération pour ceux qui y vivent. Certains citoyens étaient dans cette difficulté. Par discutions avec des journalistes, un jeune qui s’était rendu au marché pour acheter les cuisses de poulets pour sa famille, a été arrêté par des agents. Mais, avec l’intervention des journalistes, le jeune a vite été libéré. Cette action s’est passée dans la zone Bambeto, précisément au, Magasin.
Avec cet appel de l’opposition, certaines activités commerciales, qui sur tout au long de l’axe, sont paralysées.
Au marché de Matoto, les activités tournent au ralenti. De nombreux boutiques et magasins sont fermés. Les étalagistes sont par contre sur place. Même constat à Cosa et à Bambeto.
Nous y reviendrons…
Abd Akila pour Oceanguinee.com